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L’Etat autorise les laboratoires vétérinaires à faire des analyses COVID-19 en PCR.

Evénement

Pour donner suite aux interventions de différents acteurs politiques, l’État a autorisé ce week-end par arrêté, les laboratoires vétérinaires respectant la norme ISO 17025 à faire des analyses COVID-19 en PCR, sous le contrôle d’un biologiste.

 

Qualyse respecte bien évidemment cette norme et est accrédité COFRAC ( Comité Français d’Accréditation – Liste des sites et portées disponibles sur www.cofrac.fr ) sur de nombreux programmes, notamment ses analyses PCR, qu’il réalise en laboratoire confiné P3.

 

Nous offrons donc nos services à tous les laboratoires de biologie médicale, tous les hôpitaux et tous les organismes qui veulent participer activement au dépistage du COVID 19 pour répondre aux attentes de diagnostic de la population à l’approche du « déconfinement ».

 

Les laboratoires hospitaliers annoncent une capacité analytique surmultipliée par l’achat récent de machines très performantes qui vont multiplier par 10 leurs capacités, nous nous en félicitons !

 

Cette lutte pour que tous les moyens disponibles soient mobilisés au profit de nos concitoyens n’est pas finie, car les dernières décisions de l’État ne donnent pas encore d’éclaircissement sur les besoins de sortie de confinement, le recours à la sérologie en particulier, voire la sérologie combinée avec la PCR. Nous souhaitons que l’État ait bien prévu les moyens nécessaires pour se passer de nos services, si telle est son intention, mais nous trouverions là encore dommage que des investissements soient faits sans tenir compte des possibilités des plateformes analytiques existantes et déjà disponibles alors qu’il faudra multiplier les tests pour nos EPAHD, les personnels de 1ère intention et une grande partie de la population.

 

Si Qualyse dispose de gros moyens analytiques, c’est parce que nous sommes spécialisés dans la surveillance épidémiologique et des alertes sanitaires pour les centaines de milliers d’animaux des cheptels et de la faune sauvage sur nos territoires. L’Homme reste un animal devant le mode de propagation d’un virus : les outils de mises en œuvre, PCR ou sérologiques, ne sont guère différents. Seul le réactif change !

La différence restera toujours l’exploitation des résultats, fort heureusement du ressort de la biologie médicale, pour un individu ou une population.